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Au début des années 30, le Français Pierre Allain, alpiniste et propriétaire d’un magasin de sport à Paris, crée les premières vestes en duvet dans son atelier. Elles seront utilisées d’abord dans son sport, puis pour le ski. Mais c’est en 1940 que le brevet est déposé, aux États-Unis, par Eddie Bauer qui développe son produit et notamment pour l’armée américaine. Depuis, nombre de sportifs ont collaboré avec de multiples marques pour perfectionner les doudounes.
C’est dans les années 1960 et 1970 que les créateurs s’emparent de ce vêtement emblématique de l’hiver et du sport pour l’emmener en ville, d’où la doudoune n’est plus jamais partie. Désormais, les enjeux pour elle se trouvent dans l’éco-responsabilité : une fabrication et des matériaux moins polluants et plus attentifs au bien-être animal.
La matière : il s’agit de deux couches de nylon piquées ensemble pour maintenir un rembourrage, le plus souvent des plumes et du duvet, mais parfois aussi du synthétique (fibres creuses pour la chaleur et le gonflant). Le garnissage naturel est plus performant en étant moins épais. Le garnissage en fibres supporte mieux l’humidité et il est moins onéreux. La doudoune est un indispensable du vestiaire, à alterner avec un manteau, un caban ou une parka en hiver et à remplacer par un imper, un blouson ou une veste à la belle saison.
La coupe est généralement droite et assez près du corps puisque le duvet a pour vocation de conserver la chaleur du corps. En fonction du garnissage, la doudoune sera slim et ajustée ou volumineuse. La différence se situe surtout dans la présence ou non de capuche (souvent amovible), la longueur du vêtement, l’absence de manches, etc. Le piquage aussi a son importance car plus il est rapproché, plus le vêtement sera fin. Il peut également être classique et droit - en H - ou en biais, en carrés, en chevrons… Ces piquages contribuent à l’esthétique d’ensemble de la doudoune.
C’est en priorité votre budget qui va dicter votre choix : les rembourrages les plus performants comportent un maximum de duvet et un minimum de plumes, mais ça a un coût !
L’usage sera également déterminant car même si le tissu est déperlant, il est rarement imperméable pour des raisons de respirabilité. Par conséquent, si vous souhaitez utiliser votre doudoune sous la pluie, optez pour le synthétique, les plumes et l’humidité faisant assez mauvais ménage (perte des performances calorifuges, absorption de l’eau, difficulté à sécher, formation de moisissures et autres joyeusetés).
Le nylon armé est plus résistant, mais plus cher, plus épais et par conséquent plus lourd, il vous faudra par conséquent choisir aussi entre solidité et légèreté.
Enfin, sachez qu’il existe des duvets certifiés “éthiques”, ayant été prélevés sur des oies mortes, destinées à l’alimentation et n’ayant pas été gavées industriellement. Ça aussi, ça peut aider à se sentir bien dans sa doudoune…
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